Aller au contenu
pubalgie

Mes projets… Une pubalgie

Quelques semaines avant l’Ironman de Louisville j’ai ressenti une tension au niveau des abdominaux. Ce que je croyais être une contracture au départ puisque ça passait facilement avec un massage plus ou moins appuyé. Au fil des entraînements j’ai pu constater que c’était plus qu’une simple contracture puisque dès le matin c’était douloureux. Malheureusement, à l’approche de l’Ironman, je ne pouvais pas me mettre au repos. J’ai donc réalisé cette compétition avec une gêne qui était amplement supportable surtout compte tenu de l’intensité que demande un triathlon de ce type de format.

Sur le Run and Bike d’Ozoir-la-Ferrière, c’est une autre histoire. Sur ce type d’épreuve il y a de l’intensité et les changements de position (tantôt à pied, tantôt sur le VTT) sollicitent beaucoup les abdominaux et les adducteurs. C’est surtout sur cette compétition que je me suis réellement fait mal. Mais qu’est-ce que j’ai ?

Run and bike

Run and Bike d’Ozoir-la-Ferrière 2019

Quelques semaines après l’Ironman de Louisville me voilà de nouveau sur une compétition. La période de repos n’est pas encore complètement terminée mais je voulais garder un peu d’intensité et faire un run and bike avec un ami, il n’y a rien de mieux pour se défouler.
Ce matin il fait frais et il pleut légèrement, on se dirige vers Ozoir-la-Ferrière et ce climat ne changera pas de la journée. Il faut donc s’attendre à voir un terrain…

Marrakech

Fred François sur l’half Ironman de Marrakech

Il est 4h, le réveil sonne à Marrakech. 30′ pour se préparer et se mettre en route vers la navette qui nous emmène vers le départ situé au lac Lalla Takerkoust. Le taxi est à l’heure. En 5′ nous sommes à la navette.
Dès le premier pas dans la navette, tu sens une atmosphère différente. Certes il est 4h45 du matin ce qui explique le silence mais cela mis à part, tous les athlètes sont déjà dans leur course, dans leur concentration.

Il nous faut bien 30′ de transit. Désormais Il est…

coupure

Récupération et coupure

Même si l’année 2019 n’est pas terminée, l’Ironman de Louisville signe pour moi la fin de saison. Cela passe par prendre le temps de dormir plus, de manger et boire sans faire forcément attention (sans excès bien sûr).

finish line

Après la finish line

La finish line est désormais derrière moi. On me passe une belle médaille au cou. On me donne également une couverture de survie pour anticiper le refroidissement du corps. Je passe devant les photographes pour la postérité. Et je retrouve Caroline à la sortie de la zone d’arrivée. Un signe qui ne trompe pas sur le degré d’intensité de l’effort, c’est que l’on a mal partout une fois que tout est fini.

Translate »
Email
YouTube
YouTube
Set Youtube Channel ID
LinkedIn
LinkedIn
Share
Telegram