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Endurance Trail des Templiers à Millau

Endurance trailL’Endurance Trail et moi on avait un compte à régler. C’était en 2015, cette année là je me suis lancé dans le trail et l’ultra-trail. Je finis la saison par l’Endurance Trail de Millau et je terminai dans un état lamentable. J’étais physiquement cassé à un tel point que 4 semaines plus tard je me suis fait un rupture partielle du tendon d’Achille droit ! Physiologiquement j’étais cuit je n’avais plus aucune énergie. Mentalement j’étais fracturé au point de me demander si le trail était fait pour moi. C’était mon analyse à chaud.

À froid, l’analyse fut plus réfléchie et structurée mais il m’a fallu 6 ans pour retourner à Millau. Voici comment tout s’est déroulé…

Bilan de l’Endurance Trail de 2015

Le constat était sans appel, j’avais loupé ma préparation pour réaliser un ultra-trail dans de bonnes conditions. J’avais manifestement :

  • Pas assez couru ;
  • Négligé la musculation ;
  • Oublié de faire du spécifique ;
  • Pas assez pris soin de moi ;
  • Trop nagé.

Voici dans les grandes lignes ce que j’avais principalement loupé dans ma préparation. Donc si je devais retourner à Millau ou faire un autre Ultra-trail, je devais absolument corriger cela.

Saisons 2019 à 2021

Une année 2021 particulière avec la sortie progressive du confinement mais surtout après une série de pépins de santé entre 2019 et 2021. Une pubalgie pour commencer. Puis une arthroscopie du genou gauche et enfin une tendinopathie du tendon d’Achille droit.

Eh bien devinez quoi ? C’est trois événements m’ont m’aidé à mettre en place des stratégies pour l’ultra-trail :

  1. La pubalgie m’a appris à prendre soin de moi en intégrant le Yoga dans ma préparation ;
  2. L’arthroscopie m’a permis de placer progressivement des séances spécifiques trail, à savoir des randonnées longues et lestées ;
  3. La tendinopathie m’a m’obligé à faire plus de musculation pour protéger ce tendon.

Élément déclencheur

À la mi-saison 2021 je participe avec Louison au trail de 60 kilomètres du Grand Senonais. J’avais aussi participé à cette course en 2015 et là aussi j’avais fini dans un sale état. Comme vous pouvez le voir dans l’article du récit de cette course. Après cette petite vengeance sur le 60 kilomètres, pourquoi ne pas faire la même chose à Millau ?

Mais avant cela je dois régler une tendinopathie qui s’est installée et je dois réaliser un autre objectif très important qui est l’Inferno Triathlon. Si je règle le problème de mon tendon et si je finis correctement mon second gros objectif de la saison, alors j’envisagerai la possibilité de retourner à Millau.

On se lance sur l’Endurance Trail

Arrive le jour où il est temps de faire un choix. L’Inferno Triathlon s’est bien passé. La tendinopathie est réglée et même s’il reste des tissus cicatriciels perturbants, ce n’est pas un souci pour m’entraîner.

Je parle alors du projet de finir la saison avec la dernière course qui m’a donné du fil à retorde avec Caroline. Car il est clair que je ne retourne pas là-bas sans elle. J’en discute aussi avec Louison qui est également intéressée pour faire l’Endurance Trail et si on le fait ça sera ensemble pour se motiver tout au long de la course.

Les jours passent et l’autorisation des congés de Caroline est validée. Ni une ni deux je m’inscris et trouve de quoi nous loger sur place. J’avais commencer à m’entraîné dans l’espoir de pouvoir le faire et je peux vous dire qu’avec Louison les kilomètres et compétitions ont défilé.

Stratégie de course pour l’Endurance Trail

Arrive le jour de la course et avec Louison notre stratégie, que voici, a été établie depuis un moment :

  • Dans la majorité des côtes je passe devant pour donner le tempo ;
  • Pour les descentes, c’est Louison qui passe devant car elle maîtrise mieux. Cela va ainsi m’aider à voir où poser les pieds ;
  • Sur le plat nous avons le même niveau ;
  • Aux ravitaillements nous contactons notre staff technique (Slimane et Caroline) pour qu’ils puissent nous aider en préparant des affaires ou l’alimentation. Cela va nous permettre de gagner beaucoup de temps. En effet les ravitaillements sont souvent sources de fort ralentissement et surtout on se refroidit vite ;
  • On connait nos points forts et points faibles, ce qui permet de nous remotiver tous les deux au bon moment et avec les mots qui conviennent.

Road book de l’Endurance Trail

road book
Voici notre road book

Comme vous le voyez, nous avons estimé (surtout Louison, moi j’étais parti sur 18 heures) 15h58’48 » pour parcourir les 106,5 kilomètres. J’ai également écrit un petit code pour estimer la difficulté de chaque tronçon. Cela a permis de voir qu’une fois arrivés à « La Roujarie » le reste serait « plus » simple. Mon algorithme ne tient pas compte des temps de pauses aux ravitaillements, de l’accumulation de la fatigue, de la nature du terrain et de la luminosité. Dans le cas contraire, je pense que l’étape « Le Cade » aurait eu un pourcentage de difficulté plus grand.

Mais ce n’est pas grave, au moins nous avons une ligne de conduite et cela permet de voir si on est bien ou pas. Nous ne nous sommes pas bornés à suivre le plan coûte que coûte. Nous nous sommes adaptés en permanence pour finir le mieux possible.

Fort du début à la fin sur l’Endurance Trail

Du départ à la Cresse

zone de  départ de l'endurance trail

Nous sommes 946 au départ alors qu’il y avait 1349 inscrits d’après le speaker. Par rapport à 2015 c’est 193 traileurs en moins. Nous partons dans la première vague à 4 heures du matin et je suppose que nous sommes environ 473 à partir ensemble. C’est un détail qui a son importance car cela veut dire qu’il y aura moins d’embouteillages sur les singles comme j’ai connu en 2015. Il y a une superbe ambiance et la pression monte. On est motivé mais nous partons prudemment avec Louison en queue de ce premier peloton.

départ de l'endurance trail

Dans la première côte nous marchons peu afin de ne pas trop subir les ralentissements. Nous doublons donc beaucoup de personnes. Sur le plateau les kilomètres défilent rapidement, du moins c’est l’effet que l’on perçoit de courir de nuit.

La première descente se passe relativement bien dans la mesure où elle ne comporte pas de grosse difficulté.

On arrive donc au premier ravitaillement avec 1,5 kilomètres en moins que prévu. On apprendra plus tard qu’il y a eu une erreur d’aiguillage pour la première vague. Nous aurons donc 105 kilomètres au total et la vague 2 aura 12 minutes de retranchées sur leur chrono pour équilibrer le tout. Pour l’heure, nous passons tout droit le premier ravitaillement.

De la Cresse vers Le Rozier

Deuxième ascension de la journée sans fatigue ni problème, par contre la descente a été plus problématique. Elle est plus technique et il y a des bouchons qui se forment. C’est usant de devoir freiner en descente et perdre de l’énergie si tôt dans la course, c’est pénible. Avec Louison on fera le nécessaire pour passer mais ce n’est pas toujours simple.

Nous arrivons au deuxième ravitaillement solide et comme nous avons 50 minutes d’avance, nous avons pris de court notre staff technique. Ce n’est pas très grave, ils seront au suivant qui n’est pas très loin… Pour eux. En attendant sur ce ravitaillement on remplit simplement une flasque et nous repartons aussi sec pour éviter de nouveau les bouchons.

Du Rozier vers Le Truel

Troisième côte de la journée qui est « moins » difficile en pourcentage mais plus technique et cela provoque de nouveau des bouchons. Sur le plateau ces bouchons se transforment en effet accordéon, ce qui aura le dont de nous agacer. À tour de rôle on porte chacun une accélération qui nous permet de sortir d’un groupe qui nous ralentit et nous fatigue plus qu’il ne faut.

Une fois seuls, on arrive à faire une descente dans de bonnes conditions et nous contactons Slimane et Caroline pour les prévenir de notre arrivée. Ils sont là et prêts à nous accueillir. Sur ce ravitaillement nous rechargeons au complet nos sacs et j’en profite pour changer de t-shirt. Je remets également ma veste Verjari car la pluie s’invite à la fête. Elle n’est pas très gênante mais je préfère éviter d’avoir froid.

changement de tenue

Nous sommes prêts à repartir après avoir fait le plein d’encouragements de notre staff. Vous verrez tout au long de l’Endurance Trail, qu’un support technique est très important. Un ultra-trail c’est aussi tout une équipe derrière vous.

De la Truel vers La Roujarie

Nous attaquons le gros morceau de la course. Il y a du dénivelé et c’est long. Sur les statistiques on voit que c’est à ce moment qu »il y a le plus d’abandons. Même si la fatigue musculaire s’installe et que l’estomac commence à me dire qu’il en a marre d’être ballotté j’avance toujours bien. L’équipe que nous formons avec Louison fonctionne à merveille. Cela rend la course plus agréable au point que nous prenons le temps de prendre une ou deux photos. Rapidement car on n’est pas non plus là pour faire la visite de chaque lieu qui pourtant mériterait que l’on s’arrête pour admirer.

Au final, ce qui devait être long et fastidieux m’est apparu comme relativement court et simple. C’est d’autant plus plaisant lorsque Louison fait les calculs en me disant que nous sommes à plus de la moitié en kilomètres et en dénivelé positif. Cerise sur le gâteau, elle est dans le top 10 féminin et sur le moment, deuxième senior féminine.

Comme d’habitude, sur les ravitaillements hydriques, nous restons très peu de temps. Juste de quoi remplir une flasque ou la poche dorsale et nous repartons.

De La Roujarie vers Saint André Vézines

Voici le tracé le plus simple de l’Endurance Trail et ça fait du bien de pouvoir constater que l’on est toujours en mesure de pouvoir courir. On s’est bien évidemment posé des questions sur notre stratégie de course. À savoir par exemple si on n’était pas parti trop vite… Si les accélérations pour semer un groupe qui nous ralentissait n’avaient pas entamé nos forces… Et alors que l’on réfléchissait à cela on constate que nous étions en train de courir à près de 12 km/h. Nous arrivons au 62ème kilomètre avec le sourire et nous courons à bonne allure. Nous concluons que notre stratégie ne peut être que bonne !

À Saint André Vézines notre équipe nous attend et c’est le moment de faire le plein une nouvelle fois. Je pense que je ne le répéterai jamais assez mais sans Caroline je ne me serai pas inscrit. Elle me connait mieux que quiconque et sur une course, rien qu’en regardant mon visage elle sait comment je vais. Sa présence est une motivation primordiale pour aller au bout et de le faire bien.

ravitaillement

L’échange est pourtant court car j’arrive, je pose mon sac, prend ce dont j’ai besoin et lui laisse mes papiers ou flasques vides. Quelques bisous, des photos et en 5 minutes maxi je suis déjà reparti. Elle m’attend depuis sans doute plusieurs dizaines de minutes avec le stress d’être là avant que j’arrive et je ne reste que 5 minutes. On me demande souvent pourquoi je souris autant. Une des raisons et que j’estime que c’est la moindre des choses que de partager avec elle 5 très bonnes minutes.

De Saint André Vézines vers Sainte Marguerite

C’est reparti pour 11 kilomètres sur un circuit souvent en plein soleil. Pas beaucoup de dénivelé mais les chemins sont parfois très caillouteux. Les appuis sont instables et l’accumulation des chocs sous les voûtes plantaires rend le parcours moins facile que prévu.

Là encore, être à deux est un bonus car nous avons parlé de choses et d’autres et tandis que les kilomètres défilent nous arrivons au point d’eau.

Comme à chaque ravitaillement hydrique, on s’arrête à peine, et nous repartons pour le dernier gros ravitaillement solide pour nous.

De Sainte Marguerite vers La Salvage

Les pentes redeviennent plus difficiles et on mange du dénivelé mais une fois sur le plateau on profite du paysage. Quand je dis que l’on profite cela veut dire que nous regardons vite fait autour de nous mais il faut absolument regarder où l’on va. C’est à partir de là que j’ai commencé à remarquer que les pierres et les racines avaient la fâcheuse tendance à m’attraper les pieds. Jusqu’à l’arrivée j’ai compté 15 accrochages. Heureusement sans gravité hormis deux ongles un peu bleutés.

Repos à salvage

Salvage c’est le dernier ravitaillement où nous avons décidé de nous arrêter pour faire le plein. Je vous expliquerai pourquoi plus tard… Nous avons pris le temps de nous changer, de discuter et de nous alimenter correctement. On pense alors que notre temps de pause est juste un peu plus long que d’habitude mais c’est au moment de repartir que l’on mesure que nous venons de commettre une erreur. Nos muscles sont froids et nous avons du mal à relancer la machine. On regarde alors nos montres pour constater que l’on s’est arrêté 15 minutes !

De Salvage vers Bas Ravin Roubélier en passant par le Mas de Brin

C’est au prix d’un gros effort mental que nous reprenons le footing, puis la course. Nos corps se réchauffent petit à petit et nous pouvons reprendre notre stratégie de course à notre rythme. Cependant on s’en veut un peu d’être restés si longtemps, on aurait dû optimiser ce ravitaillement mais en avions-nous les moyens ? Ce qui est fait est fait et nous passons à autre chose. C’est à dire à la suite de la course que l’on doit finir et nous comptons bien optimiser le prochain ravitaillement en eau.

Nous avons tellement optimisé le point d’eau au Mas de Brin qu’en fait je ne me rappelle même plus de ce point de passage. On a dû passer tout droit pour se diriger vers le suivant. Par contre je me rappelle très bien de la descente qui est celle que j’aime le moins car elle est glissante, technique et boueuse. On a dû y aller avec prudence pour arriver au Bas Ravin Roubélier où nous retrouvons une dernière fois Caroline et Slimane.

Je remplis une flasque d’eau, on fait le plein d’encouragements et on va en avoir besoin. Dans mes souvenirs je sais que cette dernière côte est la plus difficile. Il est temps de s’attaquer à la plus terrible bosse de l’Endurance Trail.

Du Bas Ravin Roubélier vers Le Cade

Cette côte je m’en souviens très bien à la différence près que cette fois je l’affronte de jour. Déjà en soi c’est une victoire mais je ne compte pas m’arrêter là. On se lance dans son ascension et c’est, je crois, sur cette montée que nous avons parlé le moins. Nous sommes occupés à respirer le plus possible pour encaisser l’effort qui brûle les muscles des jambes mais aussi des bras. Il n’y a que 3,8 kilomètres pour arriver au prochain ravitaillement mais que c’est long ! Au pied de cette côte il fait jour. Arrivés en haut il fait nuit !

Enfin le dernier ravitaillement. C’est le plus chaleureux, le plus beau, le plus tout ce que vous voulez et pourtant c’est sans doute celui où il faut rester le moins longtemps. Par expérience je savais qu’il fallait passer notre chemin le plus vite possible pour éviter de se refroidir comme à Salvage. C’est alors que Louison prend les devants et passe tout droit. Refusant toutes propositions de boisson, de repas ou d’aide. Je lui emboîte le pas et avant même que je puisse m’en apercevoir, nous sommes dehors sur les 5 derniers kilomètres qui nous séparent de l’arrivée. Quelle détermination ! Que c’est motivant ! Nous reprenons la course, pas le temps de tergiverser, on ne pense qu’à en finir. On évoque alors une bonne douche, un bon repas et dormir.

De Cade vers l’arrivée

Le début du dernier tronçon est relativement simple et nous avançons bien mais lorsque arrive la dernière descente les choses se compliquent. C’est pentu, technique, glissant et étroit. Nous finissons aussi avec des traileurs d’une autre épreuve, on est donc plus nombreux sur la fin. On se marche limite les uns sur les autres, c’est assez frustrant de se sentir en forme et de vouloir avancer vite sans le pouvoir. C’est dans cette portion qu’en 2015 j’ai failli abandonner. Oui à moins de 5 kilomètres de l’arrivée j’en ai eu marre au point d’envisager de m’asseoir pour dormir le reste de la nuit.

Aujourd’hui est un autre jour, poussé par cette envie de vengeance, poussé par toutes ses heures de préparation, poussé par ma coéquipière qui est 3ème senior, poussée par Caroline qui me suit depuis 2h du matin. Tout cela se mélange et je ne subis plus rien. Je sens que mes muscles sont fatigués mais je cours comme si je venais de me réveiller. Je sens que mon estomac est complètement retourné mais il ne réclame rien. Je sens que je suis fatigué et pourtant j’ai les yeux bien ouverts.

L’arrivée est là, il est temps de profiter, Louison et moi franchissons la ligne de cet Endurance Trail ensemble. On lève les bras, une accolade, on retrouve notre staff technique, je retrouve Caroline avec qui je partage cette victoire car oui c’est une victoire pour moi. Je ne suis pas sur le podium mais je finis, j’ai le sourire, je ne suis pas ruiné physiquement et j’améliore mon chrono de 4 heures par rapport à 2015 !

Remerciements et conclusion de l’Endurance Trail des Templiers

Les trails des Templiers est bien rodé il n’y a vraiment pas grand chose à leur reprocher. Oui il y a eu un soucis d’aiguillage pour notre vague mais je pense que le nécessaire a été fait pour satisfaire un maximum de personnes. Pour le reste je ne vois rien à ajouter. Les bénévoles sont accueillants et tous là pour nous aider. Aux petits soins pour nous. C’était presque dommage de ne pas rester plus longtemps aux ravitaillements. L’ambiance, le salon, le parcours tout était très bien.

Merci à celles et ceux qui m’ont suivi de loin. Je recevais vos messages via Caroline.

Un grand merci à Slimane qui a conduit toute la journée pour être là aux principaux ravitaillements. Piloter son van sur ces petites routes afin de permettre à Malla et Roro de nous encourager à leur manière. Mais surtout Caroline pouvait être présente pour me suivre le plus souvent possible.

Un merci tout spécialement à Louison avec qui je partage la même philosophie du sport. Sa présence m’a permis de sortir de deux passages à vide sans compter la motivation supplémentaire qu’elle apporte.

En 2015 il me manquait quelqu’un avec moi, comme sur l’Ironman de Barcelone et cette personne est ma photofan, ma Caroline ! Sur les courses objectifs ce n’est pas négociable. Si elle peut venir je m’inscris, sinon je n’y vais pas. Son sourire et sa bonne humeur vous reboostent en un instant.

Je remercie aussi l’Endurance Trail car, même si je parle de vengeance, je lui suis reconnaissant de m’avoir permis de m’élever. Elle m’a poussé à me surpasser.

Pour informations

Je vous donne ici les statistiques des changements effectués concernant mes entraînements entre 2015 et 2021. Ces statistiques concernent les périodes du 1er septembre au 25 octobre soit les dernières semaines de préparation.

2015

Course à pied

465,880km en 56h37’02 » et 3754m de D+

Vélo

668,220km en 26h35’21 » et 5927m de D+

Natation

50,500km en 19h

Musculation

5h54’42 »

Marche

32,610km en 6h26’37 » et 381m de D+

2021

Course à pied

513,090km en 62h58’22 » et 14523m de D+

Vélo

1185,400km en 47h12’58 » et 11261m de D+

Natation

0,500km en 00h8’30 »

Musculation

10h56’44 »

Marche

90,380 km en 19h11’24 » et 1711m de D+

Randonnée

48,190km en 9h28’46 »

Yoga

2h38’31 »

Respiration

1h02’47 »

Ce qu’il faut savoir aussi est que sur toutes les sorties de randonnées j’avais un sac lesté de plus de 10 kilogrammes et sur la plupart des sorties de marche j’avais un lest inférieur ou égal à 8 kilogrammes ce qui faisait de ces sorties des séances de musculation spécifique. Cela porte donc la musculation a 39h36’54 ». C’est un des grands changements de ma préparation sans oublier qu’en course à pied et vélo j’ai également effectué beaucoup de dénivelé pour toujours favoriser le développement de la force.

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